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Découvert dans l'Emission Tracks - spécial Girls (que l'on peut revionner ici :
http://www.programme-tv.net/programme/divertissement/r5570-tracks/2814992-tracks/#)
Leduo féministe des SMOKE FAIRIES
http://www.myspace.com/smokefairies![[Folk] SMOKE FAIRIES SmokeFairies_082006](https://2img.net/h/www.indie-music.com/images2/SmokeFairies_082006.jpg)
Ce n’est plus un scoop : ça fait déjà un moment que la Folk et le Blues ne sont plus seulement une affaire d’hommes. La Folk vraiment ‘roots’, celle qui sent bon la plaine, les horizons lointains. Aux Etats-Unis, on vous parlera toujours de Laura Veirs, notre préférée. Etrangement, la Suède est une terre fertile dans ce domaine, où l’on a collé cette fameuse étiquette à de nombreuses
chanteuses, d’Anna Ternheim à Nina Kinert, bien que leur répertoire soit en réalité plus Pop. L’an dernier, June Lula, deux françaises de 20 ans sont arrivées de nulle part avec dans leurs bagages des chansons Blues Folk particulièrement enjouées et réussies.
Finalement le Royaume-Uni commençait à se faire un peu oublier dans tout ça, un comble pour le berceau de la Folk...
Et il faut croire qu’aujourd’hui les jeunes chanteuses ont plus envie de jouer au coin du feu avec une guitare coustique que de se défouler sur les dancefloors. Et dans ce domaine il n’y a pas de meilleur exemple que Smoke airies. Katherine Blamire et Jessica Davies forment un duo peu commun, qui fait renaître l’essence même de la radition Folk anglo-saxonne, notamment sur le fantomatique ‘Summer Fades’ qui ouvre cet album, tout en y pportant une forte touche de Blues Américain que l’on peut déceler aussi dans le chant, mais surtout dans le ‘picking’ qui caractérise leur jeu de guitare. Le disque évolue sur un tempo très lent. Ca pourrait être d’un ennui mortel, mais les deux demoiselles semblent avoir en elles ce qu’il faut pour donner à cette œuvre l’intensité nécessaire pour nous donner envie de les suivre dans leur voyage. ‘Devil In My Mind’ conserve encore cet aspect très Folk raditionnel (Irlandais, Ecossais aussi), notamment en raison de l’utilisation du violon. Ensuite ‘Hotel Room’ nous emmène en Amérique, toujours avec le même bon goût, la même simplicité et un refrain auquel il est difficile de ésister.
Si le duo s’enfonce peut-être un peu trop dans le bayou par moments (sur ‘Strange Moon Rising’), c’est surtout son abileté à maintenir cette atmosphère sombre et mystérieuse qui fait leur force. Une ambiance renforcée par cette pochette ou les demoiselles apparaissent telles deux fées dans la nuit noire, au beau milieu de la forêt.
Avec ‘Through Low Light And Trees’, Smoke Fairies nous prouve donc qu’aujourd’hui encore, on n’a pas besoin d’en faire des tonnes, ou de se cacher derrière des arrangements et une production ronronnante pour envoûter son public. Succès surprise l’an dernier au Royaume-Uni, elles pourraient bien faire parler d’elles en France très bientôt,
tout de suite, maintenant !
![[Folk] SMOKE FAIRIES 6a00d8345160c569e2013480ebfc32970c-500wi](http://musicsnobbery.typepad.com/.a/6a00d8345160c569e2013480ebfc32970c-500wi)
Titres conseillés : Summer Fades, Devil In My Mind, Hotel Room, Dragon, Storm Song, Blue Skies Fall
souce : http://starsareunderground.free.fr/
http://www.programme-tv.net/programme/divertissement/r5570-tracks/2814992-tracks/#)
Leduo féministe des SMOKE FAIRIES
http://www.myspace.com/smokefairies
Ce n’est plus un scoop : ça fait déjà un moment que la Folk et le Blues ne sont plus seulement une affaire d’hommes. La Folk vraiment ‘roots’, celle qui sent bon la plaine, les horizons lointains. Aux Etats-Unis, on vous parlera toujours de Laura Veirs, notre préférée. Etrangement, la Suède est une terre fertile dans ce domaine, où l’on a collé cette fameuse étiquette à de nombreuses
chanteuses, d’Anna Ternheim à Nina Kinert, bien que leur répertoire soit en réalité plus Pop. L’an dernier, June Lula, deux françaises de 20 ans sont arrivées de nulle part avec dans leurs bagages des chansons Blues Folk particulièrement enjouées et réussies.
Finalement le Royaume-Uni commençait à se faire un peu oublier dans tout ça, un comble pour le berceau de la Folk...
Et il faut croire qu’aujourd’hui les jeunes chanteuses ont plus envie de jouer au coin du feu avec une guitare coustique que de se défouler sur les dancefloors. Et dans ce domaine il n’y a pas de meilleur exemple que Smoke airies. Katherine Blamire et Jessica Davies forment un duo peu commun, qui fait renaître l’essence même de la radition Folk anglo-saxonne, notamment sur le fantomatique ‘Summer Fades’ qui ouvre cet album, tout en y pportant une forte touche de Blues Américain que l’on peut déceler aussi dans le chant, mais surtout dans le ‘picking’ qui caractérise leur jeu de guitare. Le disque évolue sur un tempo très lent. Ca pourrait être d’un ennui mortel, mais les deux demoiselles semblent avoir en elles ce qu’il faut pour donner à cette œuvre l’intensité nécessaire pour nous donner envie de les suivre dans leur voyage. ‘Devil In My Mind’ conserve encore cet aspect très Folk raditionnel (Irlandais, Ecossais aussi), notamment en raison de l’utilisation du violon. Ensuite ‘Hotel Room’ nous emmène en Amérique, toujours avec le même bon goût, la même simplicité et un refrain auquel il est difficile de ésister.
Si le duo s’enfonce peut-être un peu trop dans le bayou par moments (sur ‘Strange Moon Rising’), c’est surtout son abileté à maintenir cette atmosphère sombre et mystérieuse qui fait leur force. Une ambiance renforcée par cette pochette ou les demoiselles apparaissent telles deux fées dans la nuit noire, au beau milieu de la forêt.
Avec ‘Through Low Light And Trees’, Smoke Fairies nous prouve donc qu’aujourd’hui encore, on n’a pas besoin d’en faire des tonnes, ou de se cacher derrière des arrangements et une production ronronnante pour envoûter son public. Succès surprise l’an dernier au Royaume-Uni, elles pourraient bien faire parler d’elles en France très bientôt,
tout de suite, maintenant !
Titres conseillés : Summer Fades, Devil In My Mind, Hotel Room, Dragon, Storm Song, Blue Skies Fall
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