A voir à la télé

Sortir avec un homme ou une femme
La bisexualité n'est plus un tabou. Dès le lycée on assume son attirance pour les deux sexes. S'agit-il alors d'un phénomène de mode ou sommes nous tous potentiellement bisexuels ? Aurélie, Gemma et Jann se confient.

France 5: 22h
* Genre : Documentaire
* Date de sortie : 1997
* Durée : 52 mn

Résumé :

La jeunesse d'Audrey Hepburn a été difficile. Née d'un père irlandais et d'une mère allemande, elle fait ses études en Angleterre, puis aux Pays-Bas, au moment où la Seconde Guerre mondiale ravage l'Europe. Ce climat de destruction aura raison de ses parents qui, ruinés, finissent par se séparer. Ce n'est qu'en 1951 qu'Audrey Hepburn apparaît pour la première fois à l'écran, dans «Rires au paradis». C'est toutefois sa prestation dans «Gigi», à Broadway, qui la fait réellement connaître. Elle obtient un Oscar pour «Vacances romaines», réalisé par William Wyler, en 1953. Le succès ne lui monte cependant pas à la tête : ambassadrice de l'Unicef, elle se consacre à l'enfance malheureuse, jusqu'à ce qu'un cancer ait raison de sa détermination.

Purple a écrit:

Pourquoi je trouve limite les propos tenus par le DRH de Peugeot s'exprimant sur le projet Santal ? Certes, je ne me fais aucune illusion sur le monde de l'entreprise en général, et certes, tout le monde ne peut pas être Antoine Riboud mais m**** quoi. Mais cela pue la stigmatisation des gros dans un monde où faut pas mangé sucré, salé, gras mais plutôt manger 5 fruits et légumes par jour et avoir une activité bala bala bala bala.

Je sais, Marianne, faut que j'arrête de regarder des c****** mais j'aime bien aussi savoir quelle est la farce qui emplit d'autres têtes.

L’un des tous premiers visages filmé à la télé française fut féminin, elle s’appelait Jacqueline Joubert.
Six décennies de programmes plus tard, les femmes ont conquis à l’écran à peu près tous les métiers en même temps que dans la vie, elles décrochaient des droits. Dans la grande galerie des femmes vues à la télé, figurent des potiches, des pétroleuses, des pionnières, des passionarias, des pom pom girls, comme dans la vie, ou pas tout à fait.
De la société ou de la télé, où est le modèle ? Où est le reflet ? Où est l’œuf ? Où est...la poule ? C’est la question que pose ce film pour la première fois entièrement consacré à l’évolution de la Femme vue par la télé. Et pour tenter d’y répondre, rien de mieux qu’un coup d’œil, dans le rétroviseur, ou plutôt dans la lucarne où s’entrechoquent archives, chansons et sketches...

Nous remontons le temps en évoquant d’abord, les années d’après guerre qui font figures de Préhistoire. La française est l’une des dernières au monde à faire entendre sa voix dans les urnes. Cantonnée au rôle de ménagère à la maison, à la télé, la Femme n’a qu’un destin, un seul turbin : speakerine !
Puis c’est le temps des Grandes Révolutions. Les femmes manifestent et gagnent du pouvoir et des droits : le droit au travail, le droit à la pilule, puis le droit à l’avortement ; dans la rue elles osent la mini-jupe.
Pas après pas, l’heure est au progrès, la journée de la femme est instaurée. Alibi ou gadget ? L’égalité s’est mise en marche, signe extérieur : les femmes parlent de sexe à la télé, couvrent les guerres, et présentent les JT... La libération de la Femme peut enfin commencer. Nous sommes au début des années 80, les femmes ont désormais la maîtrise de leur corps, et ça se voit...
Tandis qu’en politique, le destin des femmes reste chaotique. Toujours pas de présidente à ce jour, une seule expérience à Matignon : François Mitterrand fait un coup et nomme Edith Cresson, le coup fera pschitt...
Enfin, à l’heure de ce qu’on appelle " la parité ", les femmes ne se refusent plus grand-chose... A chacun, chacune, de cohabiter. A elles de trouver leur place, à eux de leur en laisser une...
60 ans de télévision, 60 ans de vies de femmes, de combats gagnés ou perdus.

Lucie se lance à la recherche de sa véritable grand-mère, une célèbre féministe suisse. Une fiction engagée sur les combats de trois générations de femmes

Lucie, 19 ans, est stagiaire à la Télévision suisse romande. Un jour, dans les images d'archives du mouvement féministe genevois des années 1970, elle est frappée par le visage d'une militante qui ressemble étrangement au sien. Quand elle évoque ce sosie devant ses grands-parents, leur soudaine nervosité lui fait comprendre que sa famille cache un lourd secret. Menant l'enquête avec sa jeune soeur rebelle, malgré les réticences de leur mère, elle reconstitue l'histoire de Geneviève, leur véritable grand-mère, figure du mouvement féministe des années 1970. Lorsque Lucie se découvre enceinte de son ex-petit ami, qui lui propose le mariage, le combat de Geneviève lui apparaît comme la clé de son passé et de son futur de femme.


Féministes de mère en fille
Primé dans plusieurs festivals, le film dépeint avec justesse les tourments, les joies et les idéaux de trois générations de femmes. Exploitées avec intelligence, les archives ressuscitent l'esprit de révolte des années 1970 en Suisse et le combat des femmes pour leur liberté sexuelle, mais aussi pour l'accès au droit de vote - il ne leur sera accordé qu'en 1971. La complexité des relations mère-fille est subtilement abordée dans la confrontation magistrale entre la jeune Adèle Haenel, impressionnante de maturité, et Irène Jacob, éblouissante dans son rôle de mère débordée.

Elles ont passé le cap des 45 ans. Elles ont fait de longues carrières, certaines ont eu des postes à responsabilités, elles ont mené de front vie de famille et vie professionnelle. Un jour, après 15, 20 ou 30 ans de fidélité à leur entreprise, elles sont licenciées. Dans le monde de l'entreprise, elles sont dorénavant mises dans la catégorie "senior".

C'est à ce moment-là qu'elles se rendent compte à quel point il est difficile d'être une femme, d'être senior et de rechercher du travail. Elles prennent en pleine figure les innombrables clichés et préjugés inhérents à leur âge : trop chères, peu flexibles, moins réactives, moins mobiles...

Le gouvernement se bat pour le retour à l'emploi des jeunes et des seniors. Mais ces femmes, plus assez jeunes mais loin d'être vieilles, souffrent d'une discrimination silencieuse, dont personne ne parle.

À travers le parcours de trois femmes, Martine, Christine et Bénédicte, emblématiques de toute une génération, le film tente de comprendre et d'analyser le mur des stéréotypes et de le faire tomber.

kohane a écrit:ARTE 20:40 Caramel
Film Comédie dramatique

Caramel réalisé par Nadine Labaki
Durée : 90 minutes.
Avec : Nadine Labaki (Layale) , Yasmine Al Masri (Nisrine) , Joanna Moukarzel (Rima)

A Beyrouth, cinq femmes se croisent régulièrement dans un institut de beauté, microcosme coloré et sensuel où plusieurs générations se rencontrent, se parlent et se confient. Les hommes, le sexe et la maternité sont au coeur de leurs conversations intimes et libérées, entre coupes de cheveux et épilation au caramel.

ça a l'air sympa.
Quelqu'une l'aurait elle déjà vu?