On fuit La fée des dents!
Isabelle Hontebeyrie / 7Jours 2010-01-22 06:00:00
20th Century Fox Dwayne Johnson, Stephen Merchant et Julie Andrews
20th Century Fox
Il n’y a rien de pire que de critiquer un navet! Car rien dans La fée des dents ne mérite qu’on s’y attarde, les 101 minutes du film sont une torture comparable à celle de Shorts, sorti l’an dernier.
Dans La fée des dents, Dwayne Johnson revêt l’uniforme de Derek, un joueur de hockey des ligues mineures. Peu enclin à rêver, il est d’une brutalité peu commune sur la glace et dans la vraie vie.
Sa violence sur la patinoire lui a d’ailleurs valu le surnom de la fée des dents, au regard de ce qu’il fait à ses adversaires. À la ville, il est d’une méchanceté rare avec les enfants, n’hésitant pas, en quelques phrases, à tuer tout rêve et toute envie de dépassement de soi.
Dans le même temps, Derek sort avec Carly (personnage incarné par Ashley Judd dont on se demande pourquoi donc elle a accepté de se commettre dans cette production), mère de deux enfants. Et c’est quand notre héros n’hésite pas à révéler à la cadette que la fée des dents n’existe pas que les autorités supérieures (en l’occurrence, la cheffe des fées, jouée par Julie Andrews) le condamnent à la pire peine qui soit.
Pendant deux semaines, il se transformera en fée et ira récupérer les dents des petits et glissera un billet vert sous leur oreiller. Voir Dwayne Johnson en costume de fée aurait pu être drôle et les six scénaristes affectés au projet auraient pu se creuser la tête pour offrir aux petits et à leurs parents 101 minutes de rigolade légère.
Malheureusement, rien ne vient sauver ce long métrage, d’un ennui mortel. Pas assez drôle pour les adultes et bien trop décousu pour les enfants, La fée des dents s’impose, dès la première demi-heure, comme le premier flop de l’année. On aurait pu s’amuser, on ne fait que bailler. À éviter à tout prix.
Notre note: 1.5/5
Source: http://7jours.canoe.ca/cinema/critiques/2010/01/22/12567436-7j.html
Isabelle Hontebeyrie / 7Jours 2010-01-22 06:00:00
20th Century Fox Dwayne Johnson, Stephen Merchant et Julie Andrews
20th Century Fox
Il n’y a rien de pire que de critiquer un navet! Car rien dans La fée des dents ne mérite qu’on s’y attarde, les 101 minutes du film sont une torture comparable à celle de Shorts, sorti l’an dernier.
Dans La fée des dents, Dwayne Johnson revêt l’uniforme de Derek, un joueur de hockey des ligues mineures. Peu enclin à rêver, il est d’une brutalité peu commune sur la glace et dans la vraie vie.
Sa violence sur la patinoire lui a d’ailleurs valu le surnom de la fée des dents, au regard de ce qu’il fait à ses adversaires. À la ville, il est d’une méchanceté rare avec les enfants, n’hésitant pas, en quelques phrases, à tuer tout rêve et toute envie de dépassement de soi.
Dans le même temps, Derek sort avec Carly (personnage incarné par Ashley Judd dont on se demande pourquoi donc elle a accepté de se commettre dans cette production), mère de deux enfants. Et c’est quand notre héros n’hésite pas à révéler à la cadette que la fée des dents n’existe pas que les autorités supérieures (en l’occurrence, la cheffe des fées, jouée par Julie Andrews) le condamnent à la pire peine qui soit.
Pendant deux semaines, il se transformera en fée et ira récupérer les dents des petits et glissera un billet vert sous leur oreiller. Voir Dwayne Johnson en costume de fée aurait pu être drôle et les six scénaristes affectés au projet auraient pu se creuser la tête pour offrir aux petits et à leurs parents 101 minutes de rigolade légère.
Malheureusement, rien ne vient sauver ce long métrage, d’un ennui mortel. Pas assez drôle pour les adultes et bien trop décousu pour les enfants, La fée des dents s’impose, dès la première demi-heure, comme le premier flop de l’année. On aurait pu s’amuser, on ne fait que bailler. À éviter à tout prix.
Notre note: 1.5/5
Source: http://7jours.canoe.ca/cinema/critiques/2010/01/22/12567436-7j.html