Temps Glaciaires - Fred Vargas
Cette quatrieme de couverture n'est qu'un leurre. Comme toujours avec Fred Vargas, on lit sans vraiment comprendre où elle veut en venir, et puis d'un coup tout se met en ordre.
Des meurtres déguisés en suicides, une association qui "joue" la Révolution, Robespierre qui sème la Terreur, un drame en Islande , deux frères mais surtout, une brigade pas comme les autres menée par un "pelleteur de nuages".
Forcément ça part dans tous les sens, on s'éparpille, on entraperçoit une part de vérité mais pas tout à fait et puis soudain tout est là et on comprend.
C'est Fred Vargas. On aime où on passe son chemin. Moi j'aime beaucoup.
Adamsberg attrapa son téléphone, écarta une pile de dossiers et posa les pieds sur la table, s’inclinant dans son fauteuil. Il avait à peine fermé l’oeil cette nuit, une de ses soeurs ayant contracté une pneumonie, dieu sait comment. – le femme du 33 bis? demanda t-il. Veines ouvertes dans la baignoire ? Pourquoi tu m’emmerdes avec ça à 9 heures du matin, Bourlin? D’après les rapports internes il s’agit d’un suicide avéré.
Tu as des doutes? Adamsberg aimait bien le commissaire Bourlin. Grand mangeur, grand fumeur, grand buveur, en éruption perpétuelle, vivant à plein régime en rasant les gouffres, dur comme pierre et bouclé comme un jeune agneau, c’était un résistant à respecter, qui serait encore à son poste à 100 ans. – Le juge Vermillon, le nouveau magistrat zélé, est sur moi comme une tique, dit Bourlin. Tu sais ce que ça fait les tiques?
Cette quatrieme de couverture n'est qu'un leurre. Comme toujours avec Fred Vargas, on lit sans vraiment comprendre où elle veut en venir, et puis d'un coup tout se met en ordre.
Des meurtres déguisés en suicides, une association qui "joue" la Révolution, Robespierre qui sème la Terreur, un drame en Islande , deux frères mais surtout, une brigade pas comme les autres menée par un "pelleteur de nuages".
Forcément ça part dans tous les sens, on s'éparpille, on entraperçoit une part de vérité mais pas tout à fait et puis soudain tout est là et on comprend.
C'est Fred Vargas. On aime où on passe son chemin. Moi j'aime beaucoup.