je lis alexandre Jollien - l'éloge de la faiblesse (sur ma liseuse recémment offerte yessss ) et j'adore (le bouquin et la liseuse)
oui ok, j'me la pète un peu
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World War Z La guerre des zombies a eu lieu, manquant d’éradiquer l’humanité. Le narrateur, en mission pour l’ONU, a parcouru le monde pour rencontrer, dans des cités en ruine et dans les territoires les plus inhospitaliers de la planète, les survivants de ces années apocalyptiques.
Closure, Limited et autres histoires de zombies Quatre nouvelles inédites en France, précédées d’une introduction de Max Brooks : « Closure, Limited, une histoire de World War Z », « Steve et Fred », « Le Carnaval de l’extinction », « La Grande Muraille : une histoire de la guerre des zombies ».
Le Guide de survie en territoire zombie Ne prenez pas à la légère votre bien le plus précieux : votre vie. Proposant des exemples précis et des astuces reconnues par des experts de renommée internationale, ce guide contient toutes les clés pour survivre aux hordes de morts-vivants.
Ce sont des signes étranges, tracés à la peinture noire sur des portes d'appartements, dans des immeubles situés d'un bout à l'autre de Paris. Une sorte de grand 4 inversé, muni de deux barres sur la branche basse. En dessous, trois lettres : CTL. A première vue, on pourrait croire à l'oeuvre d'un tagueur. Le commissaire Adamsberg, lui, y décèle une menace sourde, un relent maléfique. De son côté, Joss Le Guern, le Crieur de la place Edgar-Quinet, se demande qui glisse dans sa boîte à messages d'incompréhensibles annonces accompagnées d'un paiement bien au-dessus du tarif. Un plaisantin ou un cinglé ? Certains textes sont en latin, d'autres semblent copiés dans des ouvrages vieux de plusieurs siècles. Mais tous prédisent le retour d'un fléau venu du fond des âges...
La quatrième de couverture m'a séduite par ce qu'elle promettait....promesses tenues pour moitié selon moi.Vous avez probablement compris que «l’Arche de Noé» représentait en fait plusieurs navires ? C’était le nom qu’on avait donné à la flottille - on ne pouvait quand même pas espérer entasser toute la faune dans un espace de quelque trois cents coudées de long. Il a plu pendant quarante jours et quarante nuits ? Ce n’aurait été guère plus que ce qui tombe au cours d’un été anglais normal. Non, il a plu pendant environ un an et demi, d’après mes calculs. Et les eaux recouvrirent la terre pendant cent cinquante jours ? Disons plutôt autour de quatre ans. Et ainsi de suite… Au début, c’est l’ironie qui domine, un humour décapant qui va sous-tendre une étonnante version des aventures de l’Arche de Noé, racontées par un des passagers clandestins, car oui, il y en avait… Nous aurons droit ensuite à un récit de très particulières guerres de religion. À un autre, non moins original, du drame du radeau de la Méduse… Et d’autres encore, historiques ou non, un peu plus des dix annoncés dans le titre, en fait. Mais ce qui d’abord nous a fait rire se teinte d’angoisse, car voici des images des camps de la mort, des conflits nucléaires, des fanatismes divers et variés. En un mot, de la folie des hommes. Reste-t-il alors une forme d’espoir ? C’est ce que nous dira le «demi-chapitre», petit bijou de tendresse et de violence mêlées.
Un polar d'après guerre qui dresse un portrait assez cynique de cette France qui glorifie ces morts et délaisse ses soldats survivants.Rescapés du chaos de la Grande Guerre, Albert et Edouard comprennent rapidement que le pays ne veut plus d'eux. Malheur aux vainqueurs ! La France glorifie ses morts et oublie les survivants. Albert, employé modeste et timoré, a tout perdu. Edouard, artiste flamboyant devenu une « gueule cassée », est écrasé par son histoire familiale. Désarmés et abandonnés après le carnage, tous deux sont condamnés à l'exclusion. Refusant de céder à l'amertume ou au découragement, ils vont, ensemble, imaginer une arnaque d'une audace inouïe qui mettra le pays tout entier en effervescence... Et élever le sacrilège et le blasphème au rang des beaux-arts. Bien au delà de la vengeance et de la revanche de deux hommes détruits par une guerre vaine et barbare, ce roman est l'histoire caustique et tragique d’un défi à la société, à l'Etat, à la famille, à la morale patriotique, responsables de leur enfer. Dans la France traumatisée de l'après guerre qui compte son million et demi de morts, ces deux survivants du brasier se lancent dans une escroquerie d'envergure nationale d'un cynisme absolu. De Robe de marié à Sacrifices, cinq romans noirs, couronnés par de nombreux prix, ont valu à Pierre Lemaitre un succès critique et public exceptionnel.
J'ai découvert cet auteur par le biais de son blog que je suis depuis quelques mois.Un jeune couple arrive aux urgences. Elle a des douleurs au bas-ventre. L’interne s’interroge sur la possibilité d’une grossesse. Elle ne prend pas sa pilule de manière très sérieuse. « Du coup, quand elle l’oublie, c’est moi qui la prends », dit son compagnon.
Baptiste Beaulieu est un jeune interne en médecine de vingt-sept ans, en stage dans le sud-ouest de la France. En novembre 2012, il crée le blog « Alors voilà ». Son but : réconcilier les soignants et les soignés en racontant, avec humour et sensibilité, l’incroyable réalité de l’hôpital. Le succès est immédiat et le blog compte, à ce jour, 2 millions de lecteurs. Ce blog est devenu un livre, riche en anecdotes inédites.
Voilà le récit au quotidien d’un interne en médecine. Il fait des allers-retours entre son poste aux urgences et les soins palliatifs. Là, pendant sept jours, il décrit à une patiente en stade terminal (dans la Chambre 7), ce qui se passe sous les blouses et dans les couloirs. Pour la garder en vie le temps que son fils, bloqué dans un aéroport, puisse la rejoindre. Se nourrissant de situations vécues par lui ou par ses collègues, chirurgiens ou aides-soignants, Baptiste Beaulieu passe l’hôpital au scanner. Il peint les chefs autoritaires, les infirmières au grand cœur, les internes gaffeurs, les consultations qui s’enchaînent... Par ses histoires drolatiques, poignantes et tragiques, il restitue tout le petit théâtre de la Comédie humaine. Né en 1985, Baptiste Beaulieu est interne à l’hôpital. Il a reçu en janvier 2013 le prix Alexandre-Varney pour son blog « Alors voilà », pour une réconciliation soignants/soignés, aussitôt remarqué par la presse et plébiscité par les lecteurs. Alors voilà : les 1001 vies des Urgence est son premier livre.
Dernière édition par Alyane le Mar 22 Oct - 16:55, édité 1 fois
Grand classique que j'ai découvert au théâtre avec Robert Hossein dans le rôle de Creon et Barbara Schulz dans celui d'Antigone. Autant dire que dans un petit théâtre, la présence des acteurs sur scènes étaient écrasantes. A peine si on osait respirer devant la tragédie qui se jouait sous nos yeux.Antigone est la fille d'Œdipe et de Jocaste, souverains de Thèbes. Après le suicide de Jocaste et l'exil d'Œdipe, les deux frères d'Antigone, Étéocle et Polynice se sont entretués pour le trône de Thèbes. Créon, frère de Jocaste est – à ce titre – le nouveau roi et a décidé de n'offrir de sépulture qu'à Étéocle et non à Polynice, qualifié de voyou et de traître. Il avertit par un édit que quiconque osera enterrer le corps du renégat sera puni de mort. Personne n'ose braver l'interdit et le cadavre de Polynice est abandonné à la chaleur et aux charognards.
Seule Antigone refuse cette situation. Malgré l'interdiction de son oncle, elle se rend plusieurs fois auprès du corps de son frère et tente de le recouvrir avec de la terre. Ismène, sa sœur, ne veut pas l'accompagner car elle a peur de Créon et de la mort.
Antigone est prise sur le fait par les gardes du roi. Créon est obligé d'appliquer la sentence de mort à Antigone. Après un long débat avec son oncle sur le but de l'existence, celle-ci est condamnée à être enterrée vivante. Mais au moment où le tombeau va être scellé, Créon apprend que son fils, Hémon, fiancé d'Antigone, s'est laissé enfermer auprès de celle qu'il aime. Lorsque l'on rouvre le tombeau, Antigone s'est pendue avec sa ceinture et Hémon, crachant au visage de son père, s'ouvre le ventre avec son épée. Désespérée par la disparition du fils qu'elle adorait, Eurydice, la femme de Créon, se tranche la gorge.
Vous me dégoutez tous avec votre bonheur ! Avec votre vie qu'il faut aimer coûte que coûte. On dirait des chiens qui lèchent tout ce qu'ils trouvent. Et cette petite chance pour tous les jours, si on n'est pas trop exigeant. Moi, je veux tout, tout de suite, et que ce soit entier ou alors je refuse ! Je ne veux pas être modeste, moi, et me contenter d'un petit morceau si j'ai été bien sage. Je veux être sûre de tout aujourd'hui et que cela soit aussi beau que quand j'étais petite ou mourir !
« Comprendre… Vous n'avez que ce mot-là dans la bouche, tous, depuis que je suis toute petite. Il fallait comprendre qu'on ne peut pas toucher à l'eau, à la belle et fuyante eau froide parce que cela mouille les dalles, à la terre parce que cela tache les robes. Il fallait comprendre qu'on ne doit pas manger tout à la fois, donner tout ce qu'on a dans ses poches au mendiant qu'on rencontre, courir, courir dans le vent jusqu'à ce qu'on tombe par terre et boire quand on a chaud et se baigner quand il est trop tôt ou trop tard, mais pas juste quand on en a envie ! Comprendre. Toujours comprendre. Moi, je ne veux pas comprendre. Je comprendrai quand je serai vieille. (Elle achève doucement.) Si je deviens vieille. Pas maintenant. »
c'est plein de disputes un bonheur
D4N a écrit:
L'équation africaine, Yasmina Khadra
Un allemand otage en Somalie. Poignant, encore une fois ça se lit quasiment d'une traite et c'est écrit intelligemment. Très noir par moment mais de l'espoir au fond, à lire quand on est déprimé au cœur de l'hivers. J'ai beaucoup aimé.
Dans un futur indéterminé, des survivants vivent depuis plusieurs générations dans un immense silo creusé dans la terre, à l'abri d'une atmosphère devenue toxique. Seul un immense écran relayant les images filmées par des caméras les relie au monde extérieur. Lorsque cette société bannit l'un des siens, il est envoyé dehors, vers une mort certaine, et pourtant, tous sans exception vont, avant de mourir, nettoyer les capteurs des caméras. Pourquoi ?
Autour de la place d'Arezzo, où les grands platanes ont été envahis par les perruches et les perroquets, vit une des populations les plus huppées de Bruxelles. S'y croisent, dans un voisinage élégant et contrasté, le fonctionnaire et l'étudiant, le bourgeois et l'artiste, la poule de luxe et la veuve résignée, mais aussi la fleuriste et l'irrésistible jardinier municipal. Des couples, des solitaires, humbles ou orgueilleux, conquérants ou vaincus, comme partout dans le monde. Tous gouvernés par leurs passions, leurs désirs, leurs fantasmes amoureux et sexuels. Jusqu'au jour où leur parvient une lettre, anonyme, identique, mystérieuse, qu'une colombe, et non point un corbeau, leur aurait adressée. Comme une bombe à retardement. "Ce mot simplement pour te signaler que je t'aime. Signé: tu sais qui." Et chacun de s'enflammer, de rêver, d'y voir une promesse, un bonheur attendu, une blague, une menace. On peut imaginer, pour le meilleur et pour le pire, le fatal enchaînement d'espoirs, de déceptions, d'embrouilles et de drames qui s’annoncent…
Alors petite update: les 400 premières pages sont chiantes, mais les 100 dernières valent le coup! Avis aux amatricesD4N a écrit:L'invitée, Simone de Beauvoir
Je le lis pour ma culture, comme j'avais lu La force de l'âge il y a qq temps (que j'ai largement préféré), mais c'est dur, je l'ai pas encore terminé. Les phrases sont longues, il ne se passe pas grand chose. Une histoire de ménage à trois qui ne dit pas son nom - avec chaste analyse des sentiments à la clef. A lire quand on a envie de se prendre la tête!
Oups, j'avais pas capté du tout! Y'a moyen que ce soit mon inconscient, le livre n'y fait pas tellement référence (à la traite des noirs) mais je suis allée voir une expo sur les docks de Londres en décembre dernier avec tout un étage dédié au commerce triangulaire.Agrimony a écrit:je n'y verrai aucun jeu de mots douteux
ça me fait penser à un film, avec Ellen Degeneress : Destinataire Inconnu de 1999Alyane a écrit:Les perroquets de la place d'Arezzo (E.E.Schmitt)
Autour de la place d'Arezzo, où les grands platanes ont été envahis par les perruches et les perroquets, vit une des populations les plus huppées de Bruxelles. S'y croisent, dans un voisinage élégant et contrasté, le fonctionnaire et l'étudiant, le bourgeois et l'artiste, la poule de luxe et la veuve résignée, mais aussi la fleuriste et l'irrésistible jardinier municipal. Des couples, des solitaires, humbles ou orgueilleux, conquérants ou vaincus, comme partout dans le monde. Tous gouvernés par leurs passions, leurs désirs, leurs fantasmes amoureux et sexuels. Jusqu'au jour où leur parvient une lettre, anonyme, identique, mystérieuse, qu'une colombe, et non point un corbeau, leur aurait adressée. Comme une bombe à retardement. "Ce mot simplement pour te signaler que je t'aime. Signé: tu sais qui." Et chacun de s'enflammer, de rêver, d'y voir une promesse, un bonheur attendu, une blague, une menace. On peut imaginer, pour le meilleur et pour le pire, le fatal enchaînement d'espoirs, de déceptions, d'embrouilles et de drames qui s’annoncent…
Cet auteur faisant partie de ceux que je dévore sans même prendre la peine de lire la quatrième de couverture, je crains de ne pas être objective
Des habitants d'une même place reçoivent tous la même déclaration d'amour sous la forme d'une lettre anonyme.
On découvre alors la vie de ces habitants, soudainement bouleversée (ou non) par cette déclaration.
Des couples officiels, des ados, des hétéros, des couples adultères, des soixantenaires, des homos, des intellectuels, des riches, du sexe, des pauvres, une vielle fille, un asexué, des personnes qui sont heureux en silence, d'autres qui crient leurs mal être et des perroquets. Plein.
Tout ce petit monde cohabite place d'Arezzo et chacun mène sa propre histoire, indifférent a celle de son voisin.
C'est touchant, drôle, bien trouvé et bien écrit. A tel point, que subjuguée par les vies sentimentales de chacun, j'ai fini par oublier une question pourtant essentielle : qui est la colombe?
la collombe en moins lol je connais pas bien cet auteur en fait (de nom), mais je note.Destinataire Incnnu a écrit:
Une lettre dont le destinataire est inconnu va bouleverser les habitants de la paisible petite ville de Loblolly by the Sea. Cette lettre d'amour anonyme va susciter des vocations inattendues, lever des interdits, reveiller des passions endormies et changer bien des vies. Helen McFarquhar decouvre la premiere cette ardente declaration qu'elle prend d'emblee pour elle. Libraire a la vie rangee, trop rangee, la lecture de cette lettre la jette dans un trouble profond. Helen par a la recherche de la cle de cette enigme.
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