aujourd'hui pas de nanard catastrophe .
j'avais dans mes tablettes depuis un bail et je l'ai regardé.
un crime d'amour
genre : meurtre chez Ikea la défense
Isabelle travaille pour Christine, c'est son assistante.
Rivalité, relation trouble et règlement de comptes entres femmes d'affaires...
mon avis :
Qu'est ce qui manque à crime d'amour pour être un bon film?
Sans doute il manque un peu de piment chabrolesque et l'esthétisme Hitchcockien pour réellement rendre ce film plus que juste intéressant.
le traitement est trop linéaire si bien qu'on finis par s'ennuyer et le jeu de Savignier ne suffit pas à occuper une bonne partie du film, pour nous faire basculer avec elle.
ce type de film rejoins à un genre de film assez en vogue, de Black Swans à je te mangerais, ou la folie est mixé avec des "égarements" sexuels ou sentimental pour un autre du même sexe, un espèce de jeu de miroir basique ...qui devient un poil redondant et met l'homosexualité au rayon des trucs pour zinzin, ou en général il s'agit toujours de lesbiennes refoulées qui sont des psychopathe schyzo...à la fin ça deviens un peu "homophobe"? je ne sais pas si l'aspect "refoulé" de la chose est un bon outil pour expliqué le coté maniaque de la personne, beaucoup comprendrons que l'homosexualité est lié à la folie ...dès que le film manque de profondeur.
j'avais dans mes tablettes depuis un bail et je l'ai regardé.
un crime d'amour
genre : meurtre chez Ikea la défense
Isabelle travaille pour Christine, c'est son assistante.
Rivalité, relation trouble et règlement de comptes entres femmes d'affaires...
mon avis :
Qu'est ce qui manque à crime d'amour pour être un bon film?
Sans doute il manque un peu de piment chabrolesque et l'esthétisme Hitchcockien pour réellement rendre ce film plus que juste intéressant.
le traitement est trop linéaire si bien qu'on finis par s'ennuyer et le jeu de Savignier ne suffit pas à occuper une bonne partie du film, pour nous faire basculer avec elle.
- en avant...:
- Le film en lui même connait un début assez étrange ou effectivement les deux femmes ont une relation assez "étrange" entre homosexualité refoulée plus ou moins assumé et une relation perverse de la part de Christine qui se sers d'Isabelle, est ce que Christine à des sentiments pour Isabelle...
.on reste un peu dans le questionnement, qu'est ce qui dérange christine, qu'isabelle est couché avec son amant ?, ou est ce cette histoire de dossier américain qui soulève là sa propre incapacité à vraiment aimé isabelle?, le sujet est assez inextricable. On peut par contre s'avancer en disant qu'Isabelle aime vraiment Christine jusqu'au point de la tuer en mettant en œuvre un meurtre parfait, que ce passe t'il alors chez Isabelle, elle est folle? surement, est elle une amoureuse déçu, oui, on se rappellera qu'elle demande deux fois à son amant , comment est sa supérieur au lit...j'ai envie de dire à ce niveau là, je pense qu'on pas discuter des intentions d'Isabelle , elle souhaite devenir Christine c'est une forme d'amour fanatique qui se transforme petit à petit en rivalité à partir du moment ou christine la trahis et l'humilie.
Christine lui donne son foulard, elle partage son rouge à lèvre, à ce niveau là on est plus dans le subtext mais dans le déni ...quoi qu'on ne sait pas si l'une ou l'autre aurait franchis le pas si ça aurait arrangé leurs problèmes ...on a l'impression qu'une perverse narcissique est tombée sur plus fracassé qu'elle, le crime d'amour semble surtout un amour impossible entre deux femmes folles ou l'une à mal calculé son coup, la plus soumise qui tends à s'oublier est une psychopathe homosexuelle dont il ne fallait pas je le crains brisé son petit coeur en sucre... ( voir la façon dont Isabelle finir par étreindre sa victime et un acte sexuel refoulé aussi pas besoin de faire une grande école pour ça )
finalement, les dialogues sont pas terribles, on est aussi aseptisé que l'ambiance ikea dans lequel dors et travail isabelle qui vient d'ailleurs en contre point à l'univers stylé bourgeois mais moins psychorigide que l'autre, on baigne alors dans des préjugés un peu facile et les personnage sont comme le mobilier...dommage il y avait vraiment plus à sortir de ce film dont l'esthétisme froid n'est pas mis en valeur...a voir pour la forme et kristin scott thomas, le film à trop voulu surfer sur le concept règlement de compte au bureau sur fond de" lesbiannisme" pas assumé ...et au final on a film moyen
ce type de film rejoins à un genre de film assez en vogue, de Black Swans à je te mangerais, ou la folie est mixé avec des "égarements" sexuels ou sentimental pour un autre du même sexe, un espèce de jeu de miroir basique ...qui devient un poil redondant et met l'homosexualité au rayon des trucs pour zinzin, ou en général il s'agit toujours de lesbiennes refoulées qui sont des psychopathe schyzo...à la fin ça deviens un peu "homophobe"? je ne sais pas si l'aspect "refoulé" de la chose est un bon outil pour expliqué le coté maniaque de la personne, beaucoup comprendrons que l'homosexualité est lié à la folie ...dès que le film manque de profondeur.