Vi je te recommande
Le Limier, Ariane.
Encore deux perles que j'ai vu ces dernières semaines :
Noblesse oblige
Film britannique de Robert Hamer de 1949
Avec Denis Price, Alec Guiness, Joan Greenwood, Valérie Hobson
Louis souhaite retrouver le titre qui lui est dû afin de venger sa mère, une ancienne aristocrate reniée par la noblesse anglaise. Le problème, c'est qu'il n'est pas l'héritier direct : il n'est au contraire que la neuvième personne pouvant prétendre à la succession. Une seule solution : se débarasser des huit autres successeurs...
Source Allociné
Second bijou. Cynisme, cruauté, immoralité, so caustiquement hilarant.
Ce cher Louis Manzzini, à fond dans son truc, parti, il l'est, si délicieusement flegmatique et ironique quand il raconte ses prouesses. Ca sent bon le narcissisme, ça, Madame. C'est fin, c'est monstrueusement bon, c'est ignoble
. Sans omettre la satire sociale.
Denis Price joue le rôle de Louis et du père de Louis. Alec Guiness (glou-gou) joue les huit individus à dégommer pour arriver au sommet.
Un léger bémobl avec l'image de la tatie féministe qui est une excitée, bagarreuse à l'allure chevaline (en même temps Guiness n'est pas une nymphette mais bon).
Je suis passée à côté des quelques de citations, ma culture littéraire anglaise est nase.
Hormi cela, je me suis délectée, comme dans... cet attentat au caviar.
Jim Carey aimerait en faire un... remake... que c'est lourd. Et ça fait peur aussi parce que cette version est d'une grande finesse et que quand Carey fait de l'humour ce n'est pas de la broderie (anglaise... c'est bientôt l'heure de dormir pour moi).
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L'été de Kikujiro
Film japonais de Takeshi Ketano de 1999
Avec Takeshi "Beat", Yusuke Sekibuchi...
Masao s'ennuie. Il habite Tokyo avec sa grand-mere qui travaille toute la journee. Grace a une amie de cette derniere, Masao rencontre Kijujiro, un yakusa vieillissant avec lequel il part a la recherche de sa mere, qu'il ne connait pas et qui vit au bord de la mer.
Source Allociné
Sur "culte", sont diffusés quelques films de Takeshi Ketano. J'ai commencé par
Getting any, film totalement loufoque avec quelques accents cacas (où comme attirer l'homme-mouche...), une curiosité
puis
Boys Return, ou la vie d'ados qui sortent du troupeau
puis
L'été de Kikujiro, le bonbecet pour finir par
Hana-bi, mon frère, ce soir, film de yakusas qui ne sentait pas la barbapapa. Du coup, j'ai fait aussi un peu la vaisselle. L'honneur de yakusa, hara-kiri, le doigt coupé, c'est un peu schbeu.. En même temps, j'avais lu la bio de Takeshi pour comprendre que son oeuvre était hétéroclite, et j'en ai profité pour relevé un ou deux films "à voir". J'ai compris aussi que le tortionnaire, l'horrible bonhomme qui en voulait à Bowie dans
Furyo c'était luiiiiiii ! Salaud !
Je reviens à
L'été de Kikujiro :
Ce road-movie est bon comme un bonbon acidulé. J'ai aimé l'histoire de cette rencontre des deux personnages et des rencontres qu'ils feront.
Kikujiro est haut en couleurs insolent
et drôle. Le gamin qui sommeille en lui se révèle (et pas que chez lui), le temps de cet été, comme le temps oublié ou jamais vécu des vacances scolaires où tout est permis. Quelle imagination. Joyeuse insouciance pour oublier le drame du petit et du drame qui s'est joué dans le passé de Kikujiro, similaires.
L'adulte a toujours son côté enfant qu'il a muselé. Mais là, il est lâché. J'ai été prise de fous rires. Je n'oublierai pas de si tôt le Strip Soleil.
C'est un bonheur ce film. Sans oublier la mélodie de Joe Hisaishi qui travaille sur tous les films de Takeshi (entre autres).
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En ce moment, je suis sous perf ciné. Je navigue depuis plusieurs jours du cycle Cary Grant à celui de Hitchcock, bien que parfois les deux soient liés, logique. Les jeux de Grant sont assez irréguliers d'un film à l'autre. J'ai vu parmi d'autres,
Indiscrétions et
Sylvia Scarlett avec Grant et Hepburn.
Soupçons,
L'homme qui en savait trop et
Rebecca dans le cycle Hitchcock. Tu m'avais parlé de
Rebecca, Ariane. Effectivement, j'y vois un peu mieux l'allusion lesbienne après avoir été prévenue (je suis un peu bourrin ou fumette donc si pas de faits, je peux passer à côté.
)
Bonne nuit, les filles
Portail
Purée...
Ce type de saga qu'on a du mal à lâcher en cours de route :.).
...ça doit être jugé coupable ...un truc comme ça....je crois bien
gran torino , je ne suis pas une fan de clint eastwood mais ce film est super , de l'humour ,une belle histoire 
