Le topic cinéma

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Marianne a écrit:Ca ne m'a pas choquée

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Hunger Games

Je m'attendais tellement au pire que j'ai été agréablement surprise. Par contre, la fin est naze.

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Je pense qu'il y avait pas mal de bases pour faire "beaucoup beaucoup mieux" avec un background intéressant...et c'est frustrant de ce point de vue. Puisqu'on compare avec "Battle Royale" , c'est un peu pareil : comme ils se concentrent sur le jeu , le reste est mis de côté.

L'actrice est vraiment bien...je trouve qu'on ressent bien le côté "qu'est ce que je fous là?" comme si elle avait pris un coup sur la tête et qu'il lui fallait un bon moment pour réagir. Je l'ai trouvée excellente dans tous les films où je l'ai vue.

Malgré tout, je crois qu'ils laissent pas mal de réflexions à l'attention du spectateur. Je me suis plains récemment pour "let me in" de la volonté des films américains de vouloir toujours tout expliquer. Là, y'a pas grand chose d'expliqué , c'est plutôt minimaliste...et je trouve que c'est pas si mal. En gros, pour faire bien, il aurait fallu plusieurs films je pense.

Marianne a écrit:Ca ne m'a pas choquée

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Hunger Games

Je m'attendais tellement au pire que j'ai été agréablement surprise. Par contre, la fin est naze.

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Je pense qu'il y avait pas mal de bases pour faire "beaucoup beaucoup mieux" avec un background intéressant...et c'est frustrant de ce point de vue. Puisqu'on compare avec "Battle Royale" , c'est un peu pareil : comme ils se concentrent sur le jeu , le reste est mis de côté.

L'actrice est vraiment bien...je trouve qu'on ressent bien le côté "qu'est ce que je fous là?" comme si elle avait pris un coup sur la tête et qu'il lui fallait un bon moment pour réagir. Je l'ai trouvée excellente dans tous les films où je l'ai vue.

Malgré tout, je crois qu'ils laissent pas mal de réflexions à l'attention du spectateur. Je me suis plains récemment pour "let me in" de la volonté des films américains de vouloir toujours tout expliquer. Là, y'a pas grand chose d'expliqué , c'est plutôt minimaliste...et je trouve que c'est pas si mal. En gros, pour faire bien, il aurait fallu plusieurs films je pense.

Ocarina a écrit:Mercii

Je suis allée voir deux films avec ma meilleure amie, Titanic et Le Roi Lion, en 3D! Déjà vu tous les deux lors de leurs sorties, mais la 3D a rajouté quelque chose, surtout pour le Roi Lion (et quelle BO extra)!
Par contre Titanic ça manquait de panache, j'ai trouvé, ils auraient pu faire quelque chose de mieux et plus spectaculaire avec la 3D.

Et après, petit resto!

Bon Baboo tu prend un tgv et on va le voir ensemble si tu veux

Bon ok j'arrive

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• Titanic : rooooohhh trop bien !!! Chips alors ?? t'as été voir ?!!
  Je ne sais pas si c'est que j'avais oublié à quel point il était top ce film, où si c'est la 3D, mais WAHOUUU ! Y'a tout dans ce film ! Du gigantesque (par contre, les effets spéciaux étaient parfois pas très bien réussi quand ils filment de haut le bateau, les passager, on dirait trop des mini-playmobiles dessiné avec une poignée de pixel disponibles... mais l'activation des moteurs, ou dans il faut faire marche arrière, ou le plan quand ils volent à l'avant du bateau avec le couché de soleil ! ), du romantisme, de l'action, les musiques, les décors, les costumes ...
  et j'aime bien les dialogues aussi
  "- tu as peur ? - non - pose tes mains sur moi , Jack"
  
  "Cherche pas tu a plus de chance de voir des anges sortir de ton trou d'bal que de fréquenter une fille comme ça"
  
  "-Il me semble que vous rougissez monsieur le grand artiste... Je n'imagine pas monsieur Monet en train de rougir.
  -Ce sont des paysages qu'il peint")
  
  
• Le fils de l'autre: por voir comment était traité le sujet. Bon j'avoue que je suis mitigée.. 1/ il me semble que la situation des palestinien est un peu plus pauvre/dramatique que ce qu'il n'est présenter (le père qui roule en Mercedes et les enfants qui jouent gaiement au football...) je sais pas... comme s'il y avait seulement 2 pauvres soldat comme des agents de frontière belges (du temps des frontière en europe) alors qu'on parle quand même d'occupation militaire quoi, le mur et les soldats ne sont-ils pas plus "présents" ? Clichés aussi côté Israël, comme une station balnéaire. Le problème politique est abordé lors de la dispute des deux pères, mais ce n'est ni la volonté des deux mères qui les font se taire, ni le thème du film/du réalisateur, et on l'a bien compris.
  
  Et 2/ pardon, mais si le fils Yasin peut effectivement ressembler
  
  au père français-juifs
  
  Jules Sitruk, ne parait pas tellement crédible en palestinien !
  donc ben ressortie avec un "mouai... bof, trop de truc pas assez approfondie"
  
  
• Radio Star : bien rigolé ! Manu Paillette est vraiment marrant. Mais le plus hallucinant, c'est d'avoir assisté en sortant à l'arrêt de bus, à la scène de 3 potes (le genre un peu looser-geeck-de-sortie-le-samedi-soir-fiouuu) dont un super hargneux (qui se prend certainement pour le plus beau de la bande) rabaisser son pote, le grand dadet trop gentil parce qu'il n'avait pas aimé le film, et le 3ème (une coupe à la Gsquad avec une voix très fluette) d'essayer d'apaiser les deux avec un trait d'humour :
  
  - le grand (genre smitters) : "nan mais j'ai aps dit que j'aimais pas... mais Cornillac tout le temps à insulter ses potes, "ferme ta gueule" tout le temps franchement.... moi je trouve pas très heu...."
  - le nerveux leader qi lui coupe la parole (cornillac) : "ah ouai nan mais super quoi .. l'autre ! t'sais quoi taits toi quoi! ziva l'autre le portrait qu'il dresse du film le gars quoi super pff... !!" (comme s'il défendait son projet... ??...)
  - le troisième, le suisse à la coupe et voix chelou, mais pas trop sure non plus qui a peur de s'en prendre un aussi (paillette) : "allez quoi c'est cool les gars, on ira se faire avengers, batman il est trop $#**??£..."" (heu... là j'ai pas compris le terme, un truc de geeck lol)
  :cervointello:
  juste
  
  
  
• Blanche Neige (avec Julia Roberts). franchement top !! Je le conseille vivement !
  Filmé façon Tim Burton et son Alice aux pays des merveille, humour et légèreté voir burlesque, conte revisité, une blnahce neige un peu plus battante ( j'adore l'idée de la faire elle embrasser le prince pour le sortir de l'envoutement de la reine) ou quand elle l'enferme "oui, je sais chérie, le héros qui sauve la princesse, blabla, mais là c'est mon combat ok ?!". Et une Julila Roberts super dans le rôle de la reine un peu psychopathe déjantée !
  Les costumes et décors sont super !!
  
  Bref, gros coup de coeur
  (Vraiment plus proche du thème pour moi que le gros film à gros budget Gros Combat/Guerre façon Seigneur des Anneaux).
  

Loin du dessin animé de Walt Disney

Si le film reprend l'intrigue universellement popularisée par le dessin animé de Walt Disney, il se permet néanmoins un ton différent, parfois résolument comique ou absurde, et créé un univers visuel en images de synthèse parfois plus proche d'Alice au pays des merveilles que des frères Grimm. Pour Julia Roberts, la question n'était pas de s'éloigner le plus possible du film de Disney, « mais de changer le ton, créer une autre relation » entre Blanche-Neige (interprétée par la jeune Britannique Lily Collins) et sa belle-mère. « Je pense que le public aime bien les variantes », dit-elle.

L'actrice affirme avoir pris beaucoup de plaisir à se glisser dans le rôle de la cruelle marâtre. « C'était plaisant de jouer cette méchante, parce qu'aucune véritable règle ou réalité ne s'applique à elle », déclare-t-elle. « Du coup, je pouvais faire ce que je voulais, sortir des rails à n'importe quel moment et dans n'importe quelle direction, tout en restant cohérente avec moi-même », poursuit-elle. « En cela, c'était très amusant. Je n'avais pas à me demander : "Est-ce que ce personnage pourrait faire ceci ou cela?" ».
"Blanche-Neige, une battante"

Le vent de la modernité souffle également sur le personnage de Blanche-Neige, affirme Lily Collins. « C'est une fille d'aujourd'hui, qui peut sauver le prince aussi facilement que le prince la sauve elle-même ». « Elle devient une battante, aussi bien physiquement que mentalement. Elle passe de la princesse jeune et innocente que tout le monde connaît à la jeune femme trouvant en elle-même la force de se battre pour ce à quoi elle croit », explique l'actrice de 23 ans.


Blanche Neige : La critique de melty.fr !
par (CarolineR) le 11/04/2012 12:18 | Dans l'actualité Cinéma
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L'adaptation du conte des frères Grimm sort en salles aujourd'hui, et ce serait un crime de manquer Julia Roberts en reine perverse et maléfique dans le dernier film de Tarsem Singh !

Blanche Neige débute par un clin d'œil à la tradition orale des contes de fées d'antan. C'est la voix de la reine maléfique, incarnée par Julia Roberts, qui raconte comment la douce Blanche Neige a perdu son père, parti combattre un monstre mystérieux alors qu'elle était enfant, et comment elle est maintenue sous le joug de sa "sublime" marâtre. Une introduction très poétique qui tranche avec le reste du film puisqu'il s'agit d'une séquence d'animation mettant en scène des poupées de porcelaine. Cette ambiance onirique est rapidement brisée par le pragmatisme de l'odieuse reine, qui ramène très souvent l'histoire à ELLE. L'introduction donne le ton : Julia Roberts règne en maître et son personnage de souveraine hystérique, mesquine, obsédée par son apparence et âpre au gain est le point fort du film. Après cette mise en scène, c'est au tour de Blanche Neige de faire son apparition. Elle paraît dans toute sa pureté, recluse dans une tour comme la plus classique des princesses de conte de fée, en train de… parler à un oiseau.


Julia Robert incarne une souveraine tyrannique et égocentrique face à l'innocente Blanche Neige

Elle va tenter de sortir pour se distraire, car aujourd'hui est le jour de ses 18 ans, mais sera rabrouée par la cruelle reine, occupée à torturer son petit personnel dans une partie de bataille navale grandeur nature menée contre un baron de ses amis. La malheureuse princesse décide alors de voir le monde, et s'enfuie en pleine forêt. Elle y croisera le Prince, qui fait une apparition très charismatique pendu par les pieds, et les 7 nains, qui lui enseigneront l'art du combat. Avec leur aide, elle tentera de reprendre le contrôle du royaume dont la population est plongée dans la misère. En effet, la reine accable le peuple affamé d'impôts pour financer des fêtes fastueuses, mais se retrouve complètement ruinée. Elle va alors avoir la chance de croiser le chemin du Prince, beau jeune homme naïf et richissime interprété à la perfection par Armie Hammer. Mue tant par la perspective de l'argent que par sa lubricité à l'égard du Prince (qui finit souvent dénudé face à elle), elle va tenter de le séduire pour conclure un mariage très avantageux

Blanche Neige julia roberts lilyVoir les 20 médias de la galerieBlanche Neige et le Prince parviendront-ils à défaire la mauvaise reine ?


Le film vaut surtout pour les dialogues très bien écrits, enlevés et drôles, et pour la performance de Julia Roberts. Elle forme avec Brighton, son valet servile interprété avec brio par Nathan Lane, un duo inégalable. Quant à Lily Collins, elle est parfaite pour le rôle, à la fois naïve et déterminée. Lily Collins n'avait pas menti : aucun rapport avec Blanche Neige et la chasseur, le film avec Kristen Stewart. Le film est tout simplement époustouflant d'un point de vue visuel. Les décors, les costumes, la photographie du film en font un véritable bijou. Chaque plan est absolument magnifique et foisonnant de détails. Les appartements de la reine sont grandioses et les tenues des personnages très travaillées. Certaines séquences sont hilarantes, notamment les préparatifs beauté de la reine, qui a inventé le botox et le collagène avec les moyens de l'époque. N'hésitez pas à faire le déplacement, vous êtes certains de passer un bon moment et la séquence de fin est absolument magique.